Santonien : Différence entre versions

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<b>Santonien</b>, <b>santonien - santonienne</b> (n. m. & adj.) terme initié par Henri [[Coquand]], en 1857, du nom latin de la <em>Saintonge</em> ; en anglais <em>Santonian</em> : Quatrième [[étage]] du [[Crétacé]] supérieur.  
 
<b>Santonien</b>, <b>santonien - santonienne</b> (n. m. & adj.) terme initié par Henri [[Coquand]], en 1857, du nom latin de la <em>Saintonge</em> ; en anglais <em>Santonian</em> : Quatrième [[étage]] du [[Crétacé]] supérieur.  
 
*Bornes en [[Ma]] : de -85,8±0,7    à -83,5±0,7.
 
*Bornes en [[Ma]] : de -85,8±0,7    à -83,5±0,7.
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« Le Santonien (-86 à -83 Ma) définit les terrains de la Petite Champagne que l’on retrouve dans les environs de Saintes. C’est le résultat d’une mer beaucoup plus profonde (que celle du [[Coniacien]]). Il est représenté par une succession monotone de couches [[calcaire]]s sur une soixantaine de mètres, entrecoupées par des [[boue]]s de [[silex]] s’étant, eux, formés dans une mer moyennement profonde.
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Les affleurements du Santonien constituent les plateaux crayeux au sud de l’Angoumois, de Châteauneuf-sur-Charente à Villebois-Lavalette, passant par Eraville, Plassac-Rouffiac, Charmant-Fouquebrune ; ils couvrent aussi le haut des plateaux entre Mouthiers, Dignac et Rougnac. »
  
 
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Version du 31 octobre 2010 à 22:18

Santonien, santonien - santonienne (n. m. & adj.) terme initié par Henri Coquand, en 1857, du nom latin de la Saintonge ; en anglais Santonian : Quatrième étage du Crétacé supérieur.

  • Bornes en Ma : de -85,8±0,7 à -83,5±0,7.

« Le Santonien (-86 à -83 Ma) définit les terrains de la Petite Champagne que l’on retrouve dans les environs de Saintes. C’est le résultat d’une mer beaucoup plus profonde (que celle du Coniacien). Il est représenté par une succession monotone de couches calcaires sur une soixantaine de mètres, entrecoupées par des boues de silex s’étant, eux, formés dans une mer moyennement profonde. Les affleurements du Santonien constituent les plateaux crayeux au sud de l’Angoumois, de Châteauneuf-sur-Charente à Villebois-Lavalette, passant par Eraville, Plassac-Rouffiac, Charmant-Fouquebrune ; ils couvrent aussi le haut des plateaux entre Mouthiers, Dignac et Rougnac. »


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