Les ocres : Différence entre versions

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(Nouvelle page : <b> Les ocres </b> par Jean-Marie Triat – Éd. du CNRS – 198 pages en format 19x26cm, avec 200 photos en majeure part en couleur – 35 € en librairies ou aux éditions du CNRS...)
 
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C'est en ces termes que La Revisto dóu Felibrige (La Revue du Félibrige, n° 263, mars-avril 2011), dans sa bibliographie, annonce la parution de ce nouvel ouvrage que l'auteur de cette page ne s'est pas encore procuré…
 
C'est en ces termes que La Revisto dóu Felibrige (La Revue du Félibrige, n° 263, mars-avril 2011), dans sa bibliographie, annonce la parution de ce nouvel ouvrage que l'auteur de cette page ne s'est pas encore procuré…
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Version du 16 mars 2011 à 20:34

Les ocres par Jean-Marie Triat – Éd. du CNRS – 198 pages en format 19x26cm, avec 200 photos en majeure part en couleur – 35 € en librairies ou aux éditions du CNRS – 15 rue Malebranche – 75005 Paris – 01 53 10 27 00 – cnrsedition@cnrsedition.fr

« Art et science. Les premiers humains employaient des pierres, des morceaux de bois, ils les façonnaient afin d’avoir des outils. Leur conscience croissant ils en vinrent à représenter, sur les parois des grottes, ce qu’ils voyaient. Voyant la nature en couleur, ils voulurent, c’est bien normal, la représenter en couleur. À cette fin, ils se servirent de ce qu’ils avaient sous la main, des terres colorées. L’ocre fut un des tout premiers matériaux employés par les hommes, le premier matériau qui leur permit de représenter ce qu’ils voyaient et, peut-être, d’exprimer leurs pensées, leurs sentiments, autrement que par la parole. L’ocre, par la suite, a toujours été employée, tout au long de l’histoire de l’humanité, pour colorer les peintures tant par les artistes que par les bâtisseurs et les artisans. Mais, à notre époque, cette matière a intéressé des chercheurs, des scientifiques. Certains se sont intéressés à sa composition chimique, à ses propriétés, à sa structure microscopique et moléculaire. Dans le monde entier, on a dressé l’inventaire des gisements d’ocre. Tout cela, l’usage de l’ocre par les hommes et toutes les recherches scientifiques à son sujet, est traité dans un beau livre qui vient de paraître. C’est l’œuvre d’un provençal, originaire de Mornas en Vaucluse, qui fut professeur à l’université Paul Cézanne d’Aix-Marseille. Ce livre est un ouvrage hors du commun qui sait lancer des passerelles entre l’art et la science ; un livre qui intéressera tout autant les amateurs d’art que les historiens, les géologues ou les physiciens. L’auteur, Maître Jean-Marie Triat, durant tout son professorat universitaire, a étudié, et enseigné tout ce qui a trait aux sédiments et, en particulier, aux ocres. Cet ouvrage est un peu l’œuvre de sa vie. Il s’est enthousiasmé pour les ocres en général et en particulier pour celles de Vaucluse, pour les gisements du Lubéron. Il s’est également attaché à les étudier du point de leur structure microscopique. Ce livre est bien écrit, sans discours scientifique compliqué, il est à la portée de tous les lecteurs, il suffit de suivre l’auteur dans son enthousiasme et… ses voyages. Cet ouvrage est, également, magnifiquement illustré, vous y trouverez aussi bien des peintures retrouvées dans les tombes égyptiennes que des photos prises au microscope électronique montrant des structures en accordéon de kaolinite, constituant essentiel des ocres. Sachez encore que c’est la première fois que le CNRS édite un livre de géologie ! » (Traduction F. L.)

C'est en ces termes que La Revisto dóu Felibrige (La Revue du Félibrige, n° 263, mars-avril 2011), dans sa bibliographie, annonce la parution de ce nouvel ouvrage que l'auteur de cette page ne s'est pas encore procuré…


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